Nicolas Lisimachio on Clubhouse

Bio

Diplômé de l’université Paris II Panthéon-Assas, Nicolas Lisimachio est avocat à Paris.

Parallèlement à sa vie de famille (il est père de trois enfants) et l’exercice de son métier, il se passionne depuis une quinzaine d’années pour l’antiquité gréco-romaine et ce, dans tous ses aspects : historique, mythologique et philosophique. Au gré de ses lectures, il découvre tout d’abord à quel point la langue française s’inspire de l’antiquité gréco-romaine. Il décide alors de rassembler dans un recueil la plupart des mots et expressions hérités de l’antiquité dans lequel il explique leur utilisation contemporaine et leur sens originel. C’est son premier ouvrage.

Progressivement, ses lectures le façonnent intérieurement. Il développe un lien profond avec l’antiquité et plus particulièrement la période allant de 490 avant J.-C (la bataille de Marathon) à la fin du règne d’Auguste (14 après J.-C). Ce lien est d’autant plus intense que des recherches lui font découvrir l’origine étymologique de son nom qui est une déformation phonétique de Lysimachia, issu du grec Λυσιμαχία, nom de la cité fondée par Lysimaque en Thrace en 309 av. J.-C.

Inévitablement, ses lectures et ses recherches le conduisent à s’intéresser aux penseurs antiques (Aristote, Sénèque, Cicéron ou Plutarque) dont il lit toute l’œuvre. Tout en lisant, il prend des notes à chaque fois qu’une idée le touche et le convainc. Après plusieurs années, il dispose, au travers des écrits des penseurs antiques, d’une synthèse hétérogène et tout sauf académique de ce qui deviendra un pilier fondamental de sa propre philosophie.

Inspiré un jour par la maxime de Platon selon laquelle « aux enfants il faut laisser un bel héritage de conscience plutôt que d’or », il entreprend de léguer à ses enfants un livre écrit de sa main et réunissant toutes les citations qui l’ont marqué.

Mais en cette période où chacun a besoin, plus que jamais, de repères pour mener sa vie, il choisit finalement d’en faire profiter le plus grand nombre avec l’ouvrage Ils avaient tout compris.